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J'adore le "Coulant" au lieu du "collant" sais pas si il ne l'a pas fait exprès le Cathare ????Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Si les cons étaient fluorescents, ce serait la terre qui éclairerait le soleil !!!
- yan59
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
fait exprès d'oublier un R ? Il n'est pas comme ça, notre hérétique !
Je ne procrastine pas, j'attends d'être plus vieux et donc plus expérimenté !
Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Ah ! je n'avais pas vu la faute entre le C et le O !!!!!
Si les cons étaient fluorescents, ce serait la terre qui éclairerait le soleil !!!
- Le cathare
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Niet je n'ais pas fait exprès ; bande de bachi-bouzoukMichel a écrit :J'adore le "Coulant" au lieu du "collant" sais pas si il ne l'a pas fait exprès le Cathare ????
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
, Ce n'est pas bien de se moquer de notre aînéMichel a écrit :Ah ! je n'avais pas vu la faute entre le C et le O !!!!!
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Oui, parce que finalement tu voulais dire quoi ?
"SSS en collant blanc" ou "SSS en croulant blanc" ?
De toute façon, c'est pas cool, car nous hésitons tous sur les qualificatifs les plus admiratifs et élogieux, et si nous nous autolimitons, c'est pour ne pas froisser sa modestie, aussi légendaire que son talent est grand !
"SSS en collant blanc" ou "SSS en croulant blanc" ?
De toute façon, c'est pas cool, car nous hésitons tous sur les qualificatifs les plus admiratifs et élogieux, et si nous nous autolimitons, c'est pour ne pas froisser sa modestie, aussi légendaire que son talent est grand !
"Le patriotisme, c'est d'abord l'amour des siens. Le nationalisme, c'est d'abord la haine des autres" (Romain Gary)
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Comme toutes ces choses sont bien dites et révèlent nos pensées les plus secrètes
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con
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- yan59
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
vu la vidéo précédente ça devait être "collant blanc", mais on en a profité pour déraper, encore une fois ! Je suis sûr que S.S.S. aura bien compris que nous le taquinons, et que si nous le faisons c'est parce qu'on sait qu'il accepte les blagues et surtout parce qu'on l'aime bien !
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Ben non tout le monde ne l'aime pas
(BDM le Schtroumpf grognon pâle imitation de Telly le Schtroumpf agréable)
Ben j'déconne hein, sur le bleu tout le monde l'aime notre Triple S
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
Comme toujours en début d'année sort en poche le Brunetti de l'année précédente, ce que j'attends toujours avec intérêt. Voici le dernier poche donc :
Je ne sais plus si nous en avions parlé ici mais dans la série il y a deux particularités intéressantes ( Points policier 2529 et 2753 ) dont les couvertures sont explicites :
et surtout, d'un point de vue gustatif ( dans les romans l'auteur parle souvent de la cuisine de Paola mais sans trop détailler, le vide était ainsi comblé ) :
Je ne sais plus si nous en avions parlé ici mais dans la série il y a deux particularités intéressantes ( Points policier 2529 et 2753 ) dont les couvertures sont explicites :
et surtout, d'un point de vue gustatif ( dans les romans l'auteur parle souvent de la cuisine de Paola mais sans trop détailler, le vide était ainsi comblé ) :
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Re: Donna Leon, il commissario Brunetti et Venise...
L'inconnu du Grand Canal ( Beastly Things ) - Points Policier n°P4225
Donna Leon !
Chaque fois que je lis son nouveau roman annuel, j’ai le sentiment de tenir en main le meilleur de la série. J’attends la sortie de ses livres en poche avec impatience chaque mois de janvier. Je les ai tous lus, relus certains, en relirai encore, avec le même plaisir.
J’en aime l’ambiance si particulière. Cela s’explique sans doute par mon attirance pour la culture, la politesse et la cuisine italiennes et c’est un des mérites de l’auteure américaine vivant à Venise, de réussir à évoquer ces choses et ces sentiments sans faire de faute, comme si elle était de pure souche vénitienne.
Au fil des années et des livres, je me suis attaché aux personnages récurrents : Guido Brunetti, son épouse Paola, ses enfants qui portent des jugements à géométrie variable sur le monde qu’ils découvrent, le doux Vianello, l’impeccable signorina Elettra, Rizzardi, Bocchese … Et puis il y a la bêtise effarante d’Alvise ou l’extravagance et le détachement du vice-questeur Patta, plus préoccupé par le fait de ne pas déplaire aux autorités de la ville que par autre chose …
J’apprécie l’humanité qui transparait de la personnalité de Brunetti, une qualité que l’on retrouve aussi chez Vianello.
Dans ce roman comme dans les autres, Donna Leon ne rate pas les occasions qui se présentent d’égratigner ( et pas un peu ) les politiciens italiens ni de faire référence à l’écologie en dénonçant la pollution de la lagune, les invasions de paquebots aux multiples étages, les touristes qui, s’ils font aussi vivre la ville, ne semblent souvent préoccupés que d’y voir ce qui est célébré dans les guides sans pour autant, pour la plupart, essayer de pénétrer l’âme des lieux comme celle des gens. Beaucoup de choses qui détruisent la sérénissime …
Et comme toujours, le moteur des turpitudes des coupables du crime raconté est bien entendu la cupidité. Une cupidité d’autant plus repoussante qu’elle donne naissance à des trafics nauséabonds néfastes à la santé publique. Dans ce livre-ci, on aborde le scandale de la viande impropre à la consommation et le chapitre consacré à l’abattoir est hallucinant …
Les amateurs de Donna Leon qui n'ont pas encore lu ce livre ne seront sans doute pas déçus.
Petite anecdote linguistique. J’ai découvert dans la traduction française un mot que je ne connaissais pas et que je n’ai trouvé ni au Larousse, ni au Robert. Procastriner. Il est référencé sur internet ( site le dictionnaire ) non comme verbe mais comme étant un adjectif masculin singulier ( procastriné ) qui signifie ironiquement remis au lendemain … On en apprend tous les jours !
Cela m’a fait sourire et penser à l’Angleterre où il est plutôt courant de se demander pourquoi faire aujourd’hui ce que l’on peut faire demain.
Et bien maintenant, j’attends donc janvier 2017 pour la sortie du prochain poche de Donna, déjà sorti bien entendu en grand format …
Donna Leon !
Chaque fois que je lis son nouveau roman annuel, j’ai le sentiment de tenir en main le meilleur de la série. J’attends la sortie de ses livres en poche avec impatience chaque mois de janvier. Je les ai tous lus, relus certains, en relirai encore, avec le même plaisir.
J’en aime l’ambiance si particulière. Cela s’explique sans doute par mon attirance pour la culture, la politesse et la cuisine italiennes et c’est un des mérites de l’auteure américaine vivant à Venise, de réussir à évoquer ces choses et ces sentiments sans faire de faute, comme si elle était de pure souche vénitienne.
Au fil des années et des livres, je me suis attaché aux personnages récurrents : Guido Brunetti, son épouse Paola, ses enfants qui portent des jugements à géométrie variable sur le monde qu’ils découvrent, le doux Vianello, l’impeccable signorina Elettra, Rizzardi, Bocchese … Et puis il y a la bêtise effarante d’Alvise ou l’extravagance et le détachement du vice-questeur Patta, plus préoccupé par le fait de ne pas déplaire aux autorités de la ville que par autre chose …
J’apprécie l’humanité qui transparait de la personnalité de Brunetti, une qualité que l’on retrouve aussi chez Vianello.
Dans ce roman comme dans les autres, Donna Leon ne rate pas les occasions qui se présentent d’égratigner ( et pas un peu ) les politiciens italiens ni de faire référence à l’écologie en dénonçant la pollution de la lagune, les invasions de paquebots aux multiples étages, les touristes qui, s’ils font aussi vivre la ville, ne semblent souvent préoccupés que d’y voir ce qui est célébré dans les guides sans pour autant, pour la plupart, essayer de pénétrer l’âme des lieux comme celle des gens. Beaucoup de choses qui détruisent la sérénissime …
Et comme toujours, le moteur des turpitudes des coupables du crime raconté est bien entendu la cupidité. Une cupidité d’autant plus repoussante qu’elle donne naissance à des trafics nauséabonds néfastes à la santé publique. Dans ce livre-ci, on aborde le scandale de la viande impropre à la consommation et le chapitre consacré à l’abattoir est hallucinant …
Les amateurs de Donna Leon qui n'ont pas encore lu ce livre ne seront sans doute pas déçus.
Petite anecdote linguistique. J’ai découvert dans la traduction française un mot que je ne connaissais pas et que je n’ai trouvé ni au Larousse, ni au Robert. Procastriner. Il est référencé sur internet ( site le dictionnaire ) non comme verbe mais comme étant un adjectif masculin singulier ( procastriné ) qui signifie ironiquement remis au lendemain … On en apprend tous les jours !
Cela m’a fait sourire et penser à l’Angleterre où il est plutôt courant de se demander pourquoi faire aujourd’hui ce que l’on peut faire demain.
Et bien maintenant, j’attends donc janvier 2017 pour la sortie du prochain poche de Donna, déjà sorti bien entendu en grand format …