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Bon friends, pensez-y ces nappes d'orgue spatial viennent d'outre-tombe ou presque!.Ces mots de "Polly Sampson" ("Louder than words" dédiés à Nick Wrihgt), à la fois, me réchauffent et me font froid dans le dos:
"We're more than alive"
Heureusement dans le livret qui accompagne CD (14 Euros) et double vinyl, auprès de Gilmour, jouant de la guitare acoustique, la plus jolie des petites filles. La vie continue
Vous le savez, j'apprécie "The Wall" mais pour moi ce n'est pas un grand disque de Pink Floyd à la hauteur de "A seaucerfuf of secrets", "Dark side of the moon" ou "Wish we were here" et, au moins pour son introduction et sa conclusion, "The endless river" fera un tabac pendant des dizaines d'année dans tous les bars à musique du monde des plages paradisiaques reculées ou à Manali
Enfin, pour un avis autorisé sur le fond:
"Vingt ans après The Division Bell, Pink Floyd sort ce 10 novembre 2014 son nouveau disque, The Endless River. The Endless River, dédié à la mémoire et au talent mésestimé de Rick Wright, décédé en 2008, est un album aussi inattendu qu’émouvant, bâti autour de bandes inédites enregistrées par les trois musiciens il y a plus de vingt ans. Quatre longues plages, ponctuées parfois de ces progressives montées en puissance dont le groupe a le secret, avant de se calmer aussitôt, créant un étrange mélange de frustration (quand cela va-t-il démarrer vraiment ?) et de soulagement. Du Pink Floyd classique, comme épilogue planant et apaisant à l’histoire tourmentée d’un groupe qui, en 2014, fait toujours rêver.
David Gilmour, le guitariste dont le toucher légendaire a fait autant que Clapton ou Hendrix pour la gloire de Fender, naturellement réticent à la corvée promotionnelle, a exceptionnellement accepté de se livrer à Télérama :
« J’ai eu envie, avec Nick Mason, explique-t-il, de réécouter les longues heures de musique jouée, à trois, avec Rick Wright, en 1993, en préparation du disque The Division Bell. Rick nous ayant quittés, ce fut une expérience à la fois émouvante et stimulante, tant ce que l’on entendait était spécial. Non seulement parce que cela ne se fera plus, mais aussi parce que nous jouions ensemble comme on ne l’avait pas fait depuis une éternité. (...) The Endless River, découpé en quatre suites d’une quinzaine de minutes, a été conçu à la manière d’Ummagumma ou des titres Echoeset Shine on you crazy diamond. Des dizaines d’idées, de sections, d’improvisations que, petit à petit, nous avons reliées en suites cohérentes. »