Désolé d'arriver un peu tard dans cette conversation, mais nous avons été plutôt occupés ces derniers temps avec la préparation puis l'anniversaire des 80 ans de ma mère.
Vu via Messenger avec SSS, je participe au bouquet.
Je découvre à l'instant qu'il n'en voulait pas mais après discussion avec lui on pouvait parfois lui faire admettre des points de vue différents des siens, et je pense qu'on aurait su le faire sur ce point.
Vu la distance, il y aura un peu de nous physiquement et par la pensée avec les amis qui feront le déplacement.
Comme quelques uns ici, assez vite après être arrivé sur les fora moraniens, j'avais eu une brouille avec Serge, mais nous nous étions réconciliés à Bourgoin-Jallieu. Malgré un premier refus de sa part j'avais continué à tenter un dialogue et nous avions fait la paix. J'en étais heureux, car malgré son fort caractère je l'appréciais beaucoup et cette situation me peinait.
Ensuite, à plusieurs reprises, il m'avait sollicité pour relire ses textes co-écrits avec Bernard, ce que je faisais (lentement) mais avec plaisir et avec la fierté qu'il m'accorde sa confiance, en me les confiant et en demandant mon silence jusqu'à parution. Nous avions des échanges constructifs, il retenait volontiers les petits changements que je suggérais, s'étonnait que certaines petites incohérences me sautent aux yeux, alors que c'était lié au fait que j'étais plongé dans l'histoire.
Je jette tout ça par écrit tel que ça vient, j'espère ne pas être trop brouillon, mais mon cerveau s'enbrume.
Repose en paix, Serge.
