You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

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Berengere
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par Berengere »

Dernier message de la page précédente :

oui la j écoute un remake du pénitencier. En effet. Mais C est relax dans le train le piano mécanique
😁😁😁
"L ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"

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Guy Bonnardeaux
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par Guy Bonnardeaux »

Chose promise, chose due, c'est reparti...


Les Moody Blues ont été évoqués à quelques reprises déjà dans ces souvenirs mais ce merveilleux groupe mérite bien qu’un chapitre complet lui soit consacré…

1.

1965. Comme tout le monde ou presque sur le continent, je découvrais les Moody Blues avec un disque qui faisait le tour des stations de radio de l’époque, une musique quelque peu différente de celles auxquelles nous avait habitués la British Invasion. Ce n’était pas la guitare qui dominait ici mais un piano. Go Now était chantée par Denny Laine et avait été écrite par Bessie Banks, une artiste américaine.
Image E.P. édition française
Le disque s’est hissé à la première place des classements en Angleterre et a atteint la dixième aux Etats-Unis, au grand étonnement de la créatrice de la chanson…

Honnêtement, je n’étais guère enthousiasmé. La concurrence était en effet de taille puisque nous étions habitués aux musiques bien différentes des Beatles, des Stones, des Kinks, de Dylan ou de Chuck Berry, ce dernier réalisant un come-back mérité à la faveur des reprises en série des groupes originaires d’Albion. Tout cela différait quand même beaucoup de Go Now, avec des sons, je l’avoue, bien plus excitants pour mes jeunes oreilles – et mon inculture – de l’époque. Le disque des Moody Blues donnait l’impression de ressortir d’un style différent. Il s’est quand même écoulé à plus d’un million d’exemplaires et il faut reconnaître que le groupe avait du potentiel.

Officiellement étiqueté combo de Rythm’& Blues, j’étais loin de me douter qu’après quelques remaniements de personnel, le groupe allait évoluer vers quelque chose de tout-à-fait différent, de mélodique, d’inventif, hors des sentiers battus et qu’il allait ainsi faire partie pour toujours de mon univers musical. Mais n’allons pas trop vite.

Au départ, le band était composé de Denny Laine, guitare et chant, un musicien qui deviendra plus tard l’un des moteurs du groupe de Paul et Linda McCartney. Il est présent sur tous les disques de Wings à partir de l’album Wild Life et sera du célèbre – et dangereux – séjour au Ghana pour l’enregistrement du très beau Band on the Run qui allait lancer définitivement le nouveau groupe de Paul sur le plan international…

Clint Warwick, décédé en 2004, officiait à la basse et ne demeurera avec les Moodies que jusqu’en 1966, année où il abandonnera la musique professionnelle pour devenir charpentier… Graeme Edge, drums, est aujourd’hui le seul membre du groupe original encore en activité. Il est l’auteur et récitant des poésies que l’on découvre sur les albums, un apport qu’il débutera sur le célébrissime Days of Future Passed .

Le regretté Ray Thomas, également chanteur, avait une belle voix forte, chaude et une diction impeccable. Il était aussi compositeur, fin flutiste et harmoniciste. Des capacités à la flûte traversière, qui occuperont plus tard une place importante dans l’œuvre du groupe « seconde époque ».

Mike Pinder enfin assurait les claviers et restera dans le groupe jusqu’en 1979, année qui le voit le quitter pour éviter de partir en tournée. Il composera beaucoup de morceaux de qualité comme Melancholy Man sur A Question of Balance, par exemple. Mike est un grand spécialiste du Mellotron, instrument mythique de l’histoire du rock dit progressif ( ou Prog ), utilisé par pratiquement tout le monde et qui couvre le son de nappes d’orchestration, remplaçant un orchestre symphonique entier. Mike Pinder avait été employé par des fabricants en électronique de Birmingham et il était donc bien placé pour s’intéresser à l’instrument, le travailler et en populariser l’utilisation avec talent jusqu’à en faire une composante indispensable du son Moody Blues.

Dans la foulée du succès rencontré par Go Now, le groupe sort son premier album en 1965, The Magnificent Moodies sur lequel on trouve quelques perles comme And My baby’s gone et surtout Bye Bye Bird, cover d’une composition que Sonny Boy Williamson II avait popularisée en 1963. Là, j’ai accroché. Bye Bye Bird est demeuré, en ce qui me concerne, l’archétype de la performance d’un musicien à l’harmonica, en l’occurrence Denny Laine, qui transforme le morceau en le jouant sur un rythme très rapide, à l’opposé du tempo original. Une interprétation qui me donne souvent à penser qu’elle influencera d’autres harmonicistes comme John Mayall et son fameux Room To Move, par exemple.
Il est amusant de comparer le rendu de Williamson et celui du groupe :

https://www.youtube.com/watch?v=YSdwhnsV4Go

https://www.youtube.com/watch?v=7jnTQwQP1U0

Encart : à propos de Sonny Boy Williamson …

Il y eut deux artistes de ce nom dans l’histoire du blues :

Sonny Boy Williamson I, de son nom exact John Lee Williamson – 1914-1948, auteur en 1937 du classique Good Morning Little Schoolgirl, repris par une ribambelle de chanteurs et de groupes.

Sonny Boy Williamson II, Aleck « Rice » Miller, devenu très célèbre chez nous de par ses tournées en Europe et ses enregistrements dans les années soixante avec des musiciens anglais comme Jimmy Page, les Animals ou les Yardbirds. Ses compositions se retrouvent sur bien des albums de British Blues ( Help Me, Pontiac Blues, …
)

Bizarrement, après Bye Bye Bird, les Moody Blues disparaissent de mes radars, sortent un simple avec une belle chanson issue des sessions de Magnificent Moodies et intitulée Boulevard de la Madeleine. Puis plus rien pendant quelques mois et je croyais le groupe tombé dans l’oubli.

Or, ils préparaient l’album qui allait marquer le départ de leur seconde et prolifique carrière, le disque Days of Future Passed et son fabuleux point d’orgue Nights in White Satin.

Je l’ignorais mais la Belgique a joué un rôle dans la saga Moody Blues. J’invite à ce sujet le lecteur à lire les liens ci-après que m’a transmis Monsieur Jean Jieme ( que je remercie encore au passage ), créateur d’un site très complet et bienvenu, consacré à l’histoire du rock en Belgique. Ces pages sont intéressantes à plus d’un titre puisqu’elles rassemblent les souvenirs des acteurs de l’époque. Nous avons là accès à une incontestable référence en la matière, utile pour tous les amateurs de rock, même hors Belgique, la plupart des artistes évoqués ayant incontestablement marqué les esprits un peu partout. Le site regorge d’anecdotes, de photos, d’articles passionnants pour qui aime cette musique et ces époques. Merci encore à son créateur – qui a côtoyé notamment les Moody Blues – pour y avoir pensé et le faire vivre.

http://www.memoire60-70.be/
http://www.memoire60-70.be/Pionniers_du ... _Coghe.htm
http://www.memoire60-70.be/Chronique_19 ... 7_1968.htm

Revenons aux Moodies.

Si nous retrouvions Ray Thomas, Mike Pinder et Graeme Edge dans le groupe nouvelle manière, Laine et Warwick étaient quant à eux remplacés par deux compositeurs et chanteurs, Justin Hayward, guitares et instruments divers et John Lodge, basse.

Pour la petite histoire, le jeune Justin Hayward avait joué avec Marty Wilde – le père de la chanteuse Kim Wilde – vedette rock U.K. des années 50/début 60, contemporain des Tommy Steele, Billy Fury, Cliff Richard, Johnny Kidd & The Pirates et qui était accompagné par un groupe, les Wildcats ( en France aussi il y eut des Chats Sauvages… ), par lequel sont également passés de futurs membres des Shadows. Justin avait aussi, à un moment, été pressenti au poste de guitariste par Eric Burdon mais le projet n’ayant pas abouti, il rejoignait donc les Moody Blues pour lesquels il composait d’emblée Fly Me High, qui ne sera pas repris sur l’album Days of Future Passed, le projet ayant évolué vers autre chose par la suite.

Image
Le 45t Nights in White Satin fut un mega-tube, planétaire, unique. Tout est beau dans cet enregistrement, la poésie des paroles, la mélodie, le solo de flûte, le crescendo final.

Qui n’a pas dansé sur cette musique ? J’adorais ce disque. La face b, Cities ,était une bonne chanson elle aussi, critiquant les villes tentaculaires et un mode de vie loin de la nature. Déjà en 1967.

J’ignorais cependant encore que Nights … faisait partie d’un tout, d’un album qui allait marquer de son empreinte définitive le monde du rock. Un disque sur lequel le groupe et ses producteurs réussissaient la fusion de chansons propres au monde du rock avec une forme de musique classique, interprétée ici par le London Festival Orchestra sous la direction de Peter Knight.

Comme ce sera souvent le cas par la suite, la pochette n’était pas elle non plus ordinaire. Il faut d’ailleurs souligner qu’à l’époque, nous découvrions des emballages de disques de plus en plus sophistiqués, beaux souvent, porteurs d’une recherche artistique, à des lieues des simples photographies habituelles.
Image La musique

Rien n’est à négliger dans cet ensemble, même si Nights In White Satin, version longue, en constitue bien entendu la coda, le point final d’exception.

Le thème s’articule autour des choses de la vie, résumées par les moments forts d’une journée. En l’écoutant attentivement, nous nous immergeons dans l’univers des Moodies, partie musicale par partie musicale et la musique conjuguée aux paroles crée des images qui nourrissent notre imaginaire.

Le voyage commence par une introduction du London Festival Orchestra résumant les thèmes musicaux qui seront abordés tout au long de l’album et emmenant l’auditeur vers la voix chaude de Graeme Edge qui dit la première partie de son très beau poème dont l’idée de base est que la perception des choses qui nous entourent est propre à chacun de nous :

Nous décidons ce qui est vrai
Et ce qui est illusion…


L’aube point alors ( Dawn is a Feeling ) et Justin lui donne une douce résonance poétique puisque, sortis de la nuit et des rêves, nous pouvons à nouveau ressentir la vie, l’odeur de l’herbe, la nature en nous disant que la journée durera mille ans ou n’aura pas de fin tant nos projets et désirs peuvent être nombreux.

Le matin ( Another Morning ) de Ray Thomas est déjà plus entraînant, le monde s’agite, les enfants jouent, les ballons s’envolent, la vie active reprend ses droits et culmine avec l’heure de pointe ( Peak Hour ) quand une frénésie générale semble s’être emparée de tout un chacun, il faut faire ceci, ne pas manquer cela … mais le chanteur a bien envie de nous faire comprendre que nous avons le temps …

Dawn is a Feeling est un mouvement lent, c’est l’éveil, la douceur, la musique est caressante, Another Morning nous pousse à bouger, un peu comme une marche militaire qu’il faut suivre. Quant à Peak Hour c’est un rock bluesy qui fait bien ressentir que le monde est agité. Trop.

Mardi est choisi pour évoquer l’après-midi ( Tuesday Afternoon ) et la nature inspire une fois de plus le conteur pour qui la vie est à portée de main, qu’il est temps de laisser les occupations, les obligations et de partir vers la vraie vie ( Time to get away )… Jusqu’à ce que le soleil se couche ( The Sunset ). Il faut le regarder ce soleil couchant, il vient de régénérer la terre. Il est essentiel de nous ouvrir l’esprit et d’accepter le fait que nous ne sommes pas seuls, que d’autres planètes, d’autres mondes nous entourent… Vient alors le crépuscule ( Twilight Time ) et un autre moment pour rêver et réfléchir quand tombe l’obscurité …
Nights in White Satin constitue le bilan de tout cela avec les regrets, les espoirs, l’amour mal exprimé et d’autres sentiments. L’ensemble est ponctué par une envolée magistrale de l’orchestre qui nous ramène vers la voix de Graeme Edge, celui qui observe et résume les sentiments des uns et des autres, leurs envies, leurs déceptions, leurs espérances, et puis, nous rappelle, bien entendu :

Nous décidons ce qui est vrai
Et ce qui est illusion…


La pochette

Elle offre un condensé pictural des thèmes abordés.

Le peintre, David Anstey a pris le parti de rassembler dans son œuvre une série d’éléments graphiques qui évoquent le temps qui passe, sujet premier de l’album.

Dans le coin supérieur gauche du tableau, on peut imaginer voir une allégorie de la création du monde avec ce maelström de matières en mouvement et en transformation où des coquillages, un noyau, une étoile semblent se mouvoir, se mélanger, s’étendre jusqu’à ce qu’apparaisse la silhouette imprécise d’un être humain en devenir.

Plus bas, un sablier évoque encore bien évidemment l’écoulement du temps tout comme cette suite de chiffres, de 1 à 12, sur laquelle déambulent des humains qui vont en s’effaçant mais reviennent sans cesse et résument peut-être ainsi une année, l’ensemble de l’évocation étant peint entre les visages d’un homme et d’une femme.

On trouve d'ailleurs pas mal de visages dans d’autres parties de la toile comme celui de cet être sous un ciel parsemé d’étoiles, détail qui montre que nous faisons partie d’un ensemble bien vaste. Les amants impatients évoqués par Graeme Edge sont présents comme l’est aussi ce fœtus qui va naître à la vie. La création, le monde, l’univers…

Le temps, toujours, constant, évoqué encore par une éclipse solaire dans ses différentes phases ou par une ellipse de l’Histoire dans le coin inférieur droit de la toile où un chevalier en armure fait face à un engin spatial et un astronaute, images des temps modernes. A noter qu’à l’époque, Armstrong n’avait pas encore fait son petit pas petit pour l’homme mais géant pour l’humanité…

La nature est tributaire du temps et le peintre l’évoque par un rameau sur lequel apparaissent quelques feuilles, suivies de l’éclosion d’une fleur, et plus loin, de pétales qui s’effritent petit à petit et sont emportés par le vent pour revivre ailleurs…

Une pochette de disque qui raconte donc une histoire comme le fait l’album lui-même…

Les Moody Blues et leurs producteurs, Hugh Mendl, Tony Clarke ( qui poursuivra l’aventure avec eux sur quelques albums ), Michael Daire-Barclay et l’ingénieur bien connu Derek Varnals avaient apporté beaucoup de soins à la réalisation de cette œuvre qui demeurera un palier essentiel dans l’évolution de la musique populaire. Et même de la musique tout court.

Les thèmes récurrents que l’on retrouve entre les chansons et interprétés par le London Festival Orchestra sont signés Redman-Knight, Peter Knight tenant la baguette de l’orchestre.

1967 nous a ainsi donné quatre disques importants, beaux, innovants : Sgt Pepper’s Lonely Hearts Club Band pour les Beatles, Pipers at the Gates of Dawn de Pink Floyd époque Syd Barrett, Are You Experienced et Jimi Hendrix Experience et donc ce beau Days of Future Passed

( à suivre )
Modifié en dernier par Guy Bonnardeaux le mar. 2 oct. 2018 15:35, modifié 1 fois.

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Back Door Man
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par Back Door Man »

Merci Guy pour cette remarquable évocation de ce grand groupe qui se lit comme un passionnant roman.
Personnellement j'ai découvert les Moody Blues avec "Bye bye bird". Quelle claque !
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con

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Guy Bonnardeaux
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par Guy Bonnardeaux »

Merci mon ami.
Bye Bye Bird ! Ce disque avait remué tout le monde dans mon entourage de l'époque :pouce: et j'avais acheté le single :pouce:
Tu as vu Gilles sur le site de M. Jean Jieme, des textes de Jean-Noël Coghe que tu connais ?

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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par aristide hergé »

Back Door Man a écrit :
sam. 30 juin 2018 19:36
Merci Guy pour cette remarquable évocation de ce grand groupe qui se lit comme un passionnant roman.
Personnellement j'ai découvert les Moody Blues avec "Bye bye bird". Quelle claque !
Pas mieux ! :pouce:
Perso c'est avec ce 33 t que j'ai découvert les Moody Blues (j'avais entendu "nights in white satin" à la radio et j'étais resté sur le c...)
Je me souviens avoir acheté l'album (que j'ai toujours bien sûr) à Clermont car dans mon bled de l'époque c'était mission impossible : il est passé un certain nombre de fois sur l'électrophone et je l'ai prêté à beaucoup de copains !
Merci Guy pour ce "décryptage" (mot à la mode) d'une œuvre que (pour une fois) je connais bien ! :D
"Le patriotisme, c'est d'abord l'amour des siens. Le nationalisme, c'est d'abord la haine des autres" (Romain Gary)

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Guy Bonnardeaux
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par Guy Bonnardeaux »

:D :D

... les autres albums vont suivre parce qu'ils ont persévéré les Moodies, dans le sens du beau :pouce:

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Back Door Man
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par Back Door Man »

Guy Bonnardeaux a écrit :
dim. 1 juil. 2018 11:57
Tu as vu Gilles sur le site de M. Jean Jieme, des textes de Jean-Noël Coghe que tu connais ?
Je l'ai littéralement "dévoré" ;) :)
C'est parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son que certains ont l'air brillant avant d'avoir l'air con

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lagon requin
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par lagon requin »

Moi aussi que de bon moments :kiss3: :shock:
je rêve d'un train très grand où la paix voyage avec tous les enfants et que nous puissions voir les spectacles de l'amour où on nous donne de l'affection.
Erika Johana Quintero ,14 ans

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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par jean-luc »

Merci Guy pour la reprise de cette rubrique que J'ADORE et qui m'en "apprend des tonnes" sur la grande et la petite histoire de la Musique!!! :D :kiss3:

"Night in White Satin", un titre qui figure dans mon Top 5, toutes chansons confondues!

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Guy Bonnardeaux
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dans no

Message par Guy Bonnardeaux »

:pouce: :pouce: :kiss3:

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Berengere
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Re: You can't stop the Music playin'on ( ou petit voyage dan

Message par Berengere »

aristide hergé a écrit :
mer. 18 avr. 2012 11:56
Michel a écrit :Hier soir sur la 5, rediffusion du reportage sur Eddy Mitchell, un document d'une heure environ de Xavier Villetard. Diffusé déjà Le 26 novembre 2010. Je ne l'avais pas vu la dernière fois, mais je ne l'ai pas raté hier. ;)
C'était trop tard pour moi, alors je l'ai mis en boîte ! ;)
Puis-je rappeler ici qu Eddy Mitchell jouera dans les vieux fourneaux. Tiré de la bd
Bel article dans le Moustique (Belgique)

(Ma préférence va à Pierre Richard quil fait du vin a La Clape corbières )


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